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Générique proscar
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Générique proscar
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Proscar (médicament anti-inflammatoire stéroïdien)

Ce médicament contient un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) et est utilisé dans le traitement de certaines maladies de la prostate et de la vessie. Il contient un principe actif, le palmityluron, ainsi que d'autres excipients.

La posologie usuelle est d'une gélule de 5 mg par jour à avaler avec ou sans aliments. Il peut être renouvelé jusqu'à trois fois par jour. Pour les adultes et les adolescents de plus de 12 ans, il est généralement nécessaire de prendre le médicament à une dose plus faible que celle indiquée, de l'ordre de 2,5 mg par jour. Dans les cas les plus sévères, un traitement par prostaglandines doit être instauré et un traitement par corticoïdes sera éventuellement prescrit pour limiter le risque d'hématomes et de troubles du rythme cardiaque.

Il est contre-indiqué chez les patients ayant une hypersensibilité à la substance active ou à l'un de ses excipients. En cas de doute ou de problèmes de santé, demandez l'avis de votre médecin, ou de votre pharmacien ou de votre infirmier/ère.

Pas d'utilisation prolongée du médicament sans avis médical.

Composition de Proscar (médicament anti-inflammatoire stéroïdien)

  • palmityluronate anhydre
  • parahydroxybenzoate de méthyle
  • noyau du comprimé : lactose monohydraté
  • oxyde de fer rouge (E172)
  • enrobage : macrogol 4000, povidone, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium
  • poudre jaune clair : lactose monohydraté, hydroxypropylcellulose, hydroxypropylcellulose, macrogol 400, talc, dioxyde de titane (E171)
  • excipients : acide stéarique, talc, stéarate de magnésium, jaune de quinoléine (E104), jaune de quinoléine (E104)

Posologie et mode d'administration de Proscar (médicament anti-inflammatoire stéroïdien)

  • Adultes :
  • Les gélules de 5 mg et de 2,5 mg sont destinées à être prises à la demande, par exemple après avoir uriné.
  • Les gélules de 5 mg ne doivent être utilisées qu'en cas de besoin.
  • Les gélules de 2,5 mg ne doivent être utilisées qu'une seule fois par jour
  • Les gélules de 5 mg peuvent être prises avec ou sans aliments

Si vous avez l'impression que l'effet de PROSCAR 5 mg, comprimé pelliculé est trop fort ou trop faible, consultez votre médecin ou votre pharmacien.

Effets secondaires de Proscar (médicament anti-inflammatoire stéroïdien)

Comme tout médicament anti-inflammatoire, il est susceptible d'entraîner des effets indésirables.

Effets indésirables rares

Les effets indésirables les plus courants du proscar (médicament anti-inflammatoire stéroïdien) sont les suivants :

  • saignement vaginal ou utérin ;
  • malaise ;
  • démangeaison ;
  • éruption cutanée ;
  • nausées ;
  • diarrhée ;
  • gonflement au point d'injection ;
  • douleurs abdominales ;
  • fièvre ;
  • douleurs thoraciques ;
  • fatigue ;
  • douleurs musculaires ;
  • réactions allergiques : réactions cutanées avec démangeaisons, rougeurs, gonflement, formation de vésicules ou d'ampoules, urticaire ;
  • démangeaisons de la bouche ;
  • rougeur du visage ;
  • éruption cutanée avec desquamation de la peau ;
  • taches rouges sur la peau, démangeaisons ;
  • sécheresse de la bouche.

Effets indésirables fréquents

  • Maux de tête ;
  • augmentation de l'appétit ;
  • diminution du désir sexuel ;
  • bouche sèche ;
  • saignement vaginal ;
  • rougeur de la peau ;
  • augmentation du volume des seins chez l'homme ;
  • diminution de la libido ;
  • douleur abdominale ;
  • diminution du nombre de spermatozoïdes ;
  • augmentation de la fréquence des infections ;
  • maux de ventre ;
  • migraine ;
  • douleur musculaire ;
  • sensation de brûlure dans les muscles ;
  • maux de tête ;
  • douleur thoracique ;
  • douleur dans les articulations ;
  • diminution de la sensibilité des organes génitaux.

Effets indésirables peu fréquents

  • Migraine ;
  • maux de tête avec fièvre ;
  • douleur dans le bas-ventre ;
  • sensation de brûlure dans le vagin ;
  • douleur dans les jambes ;
  • toux ;
  • rougeur de la peau.

Effets indésirables rares :

  • augmentation du volume des seins chez la femme ;
  • hémorragies ;
  • congestion des vaisseaux sanguins ;
  • fracture de la jambe ;
  • éruption cutanée rouge ;
  • congestion nasale ;
  • douleur dans l'abdomen ;
  • douleur dans la poitrine ;
  • douleur dans le dos ;
  • douleur dans la région abdominale ;
  • douleur dans le rectum ;
  • douleur aux extrémités ;
  • douleur intense au niveau du bas du dos ;
  • douleur au niveau du bas du dos ;
  • diminution de la sensibilité des organes génitaux ;
  • douleur au niveau du bras ;
  • diminution de la force des muscles ;
  • éruption cutanée rouge.

C’est l’histoire de la vie qui se transforme en conte de fée.

Après un cancer du sein dont elle a failli perdre la vie, la réalisatrice Isabelle Leblanc a écrit le scénario de Pomme de terre, une comédie musicale sur fond de conte de fées. La bande-annonce de :

Un conte de fées... Un conte de fées qui ne finit jamais. Un conte de fées où les princesses se font des clashs, où les fées s’aiment et se détestent, où les lutins s’invitent dans le décor de l’héroïne. Une histoire de conte de fées qui se termine par la mort du héros. Une histoire de conte de fées qui s’achève par la disparition du héros... Et c’est le début d’un nouveau conte de fées où la vie reprend, avec ses hauts et ses bas.

Tout commence à 18 h 30 le 31 décembre 2016. Isabelle, 51 ans, se trouve à la croisée des chemins. Elle ne sait pas quelle sera sa prochaine étape. Et, plus précisément : quelle vie lui apportera-t-elle ?

Dans son salon de coiffure, Isabelle a rendez-vous avec son conseiller financier, Martin Delavaud, pour faire un point sur ses projets d’avenir et ses besoins en matière de santé.

Soudain, elle entend derrière elle une voix familière. C’est Martin Delavaud qui, quelques minutes plus tôt, lui a proposé de faire sa première coloration. « Vous avez l’air d’avoir un joli cheveu », se souvient-il. « Et vous avez l’air d’avoir une belle couleur », reprend-il. « Merci », lui répond-elle.

A peine sortie du salon, Isabelle passe devant la salle de bain, où elle fait son shampoing, son masque et sa manucure à un autre client. Elle a 5 minutes pour choisir sa couleur.

La coiffeuse lui annonce alors : « Vous avez une chevelure très claire. Vous avez les yeux bleus. Vous avez des cheveux très lisses et soyeux. Je vous conseille les cheveux roux ou orangés. »

Isabelle se dit qu’il est un peu tard, mais elle ne résiste pas au charme du roux, qu’elle a toujours voulu essayer et qui la tente. Elle se décide donc pour une coloration rouge-bordeaux. « C’est ce que vous vouliez », lui dit la coiffeuse.

Un an plus tard, Isabelle ne regrette pas son choix. La coiffeuse l’avait convaincue qu’elle aurait de meilleures racines, et la coloration est devenue bien plus éclatante qu’elle ne l’avait imaginée.

Et pourtant, au début, Isabelle avait de la difficulté à accepter la nouvelle couleur. « Quand je l’ai apprise, j’avais une vision plutôt négative de la chose », se souvient-elle.

Durant 24 mois, Isabelle, qui a toujours eu des cheveux très clairs, a eu peur de se retrouver avec une coloration orange. Elle avait peur que ses racines prennent le dessus et que la couleur devienne trop pâle.

Mais au fil des mois et de la coloration rouge, elle a réalisé que sa couleur de cheveux était vraiment magnifique et qu’elle avait eu raison de tenter cette expérience.

Enfin, un mois après le premier rendez-vous, Isabelle a retrouvé sa couleur naturelle, qui a été teinte par une coloriste en fonction de ses cheveux.

« Je suis très contente de ma couleur et de ma nouvelle coiffure. Je n’avais plus envie de me laisser pousser les cheveux », dit-elle.

Aujourd’hui, Isabelle ne s’inquiète pas du tout de son apparence ni de sa couleur de cheveux. Elle s’amuse beaucoup de ses nouvelles mèches. « Ma couleur me plaît énormément », dit-elle. « J’ai le même effet que si j’avais les cheveux blonds platine.

Pour sa première coupe, Isabelle a également essayé la perruque blonde, qui lui allait bien. « Ça ne m’avait jamais fait ça avant », dit-elle. « Je trouve que c’est très beau quand les cheveux se mélangent », ajoute-t-elle.

C’est en 2018, alors que les cheveux d’Isabelle sont devenus plus foncés, que les choses se sont compliquées pour elle. Ses cheveux sont devenus trop fins, trop clairsemés, trop secs, et elle commence à perdre ses cheveux.

C’est alors que son médecin lui a prescrit des médicaments. « J’ai toujours voulu arrêter la coloration », raconte Isabelle. « Mais j’ai continué parce que je voulais avoir des cheveux plus épais », dit-elle.

Et elle a bien raison ! « Les cheveux tombent beaucoup plus facilement lorsque tu arrêtes la coloration », dit le médecin.

Isabelle a donc pris la décision de mettre sa coloration en pause. Pour profiter de ses cheveux et de sa couleur naturelle, tout en évitant les traitements chimiques.

Quatre ans après le début de la coloration et 10 mois après l’arrêt, Isabelle peut dire que son expérience avec la coloration lui a beaucoup apporté. « J’avais peur de ne plus pouvoir avoir de cheveux. Mais maintenant, j’ai toujours une belle coupe, et je peux continuer ma vie sans me soucier de mon apparence », dit-elle.

Avec une seule couleur de cheveux, Isabelle a maintenant tout le temps de profiter de sa couleur et de sa vie en général.

En conclusion, Isabelle a choisi de changer de coiffure parce qu’elle ne voulait pas avoir de cheveux blancs.

Elle a changé de coiffure parce qu’elle voulait une couleur qui correspondait mieux à son nouveau look et qu’elle n’était pas satisfaite de son apparence et de son apparence.

Elle a changé de coiffure parce qu’elle voulait profiter pleinement de sa couleur et de sa vie.

Et elle a choisi la coloration parce qu’elle avait envie de changer de look. « Ça fait 20 ans que j’ai les cheveux blonds. Et j’ai toujours eu peur de me colorer les cheveux. Mais une fois que j’ai décidé de ne plus les teindre, je n’ai plus peur de faire une coloration », dit-elle.

« C’est la fin d’un long tunnel. Ça m’a pris 20 ans pour me débarrasser de mes cheveux. Maintenant, je n’ai plus de cheveux gris et je n’ai plus peur de faire une coloration », dit-elle. « Ça fait plaisir à voir.

Faites le calcul !

Après les 10 premiers mois de la couleur, Isabelle a perdu environ 30% de son volume capillaire. Et après le 20e mois, elle avait encore perdu environ 20% de son volume capillaire.

Et c’est ainsi qu’Isabelle est parvenue à ses 10 mois et 20 mois de couleur. Elle a perdu environ 20% de son volume capillaire.

Moins de cheveux : moins de volume capillaire.

Plus de cheveux : plus de volume capillaire.

samedi 29 juin 2024 à 19:08:24 GMT
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